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Et effectivement quoi de plus plaisant qu'un dîner où l'on refait le monde, on devise, on réfléchit, on cogite, on se pose des colles, on rivalise de savoir, on invente de nouveaux concepts...
Certains prennent même de la cocaïne pour pimenter un peu le tout, afin de stimuler leur cervelle. Après tout comme on dit, "Y a pas d'mal à s'faire du bien" !
Certaines grandes réponses à des énigmes séculaires ont été ainsi formulées.
JRV
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RépondreSupprimerSauf que la cocaïne finit par la bouziller, la cervelle !
RépondreSupprimerQuant à "ya pas mal à sfaire plaisir", c d'un nul! Et d'un veule ! Cela détonne un peu du reste de vos écrits dont l'un, d'ailleurs, pourfend la drogue. Alors, que pensez-vous réellement ? Vos pensées varient-elles au gré du plaisir frelaté d'un jour ? Le plaisir existe sans la drogue, sans alcool, sans même la cigarette, pour que dialogues et rencontres portent du fruit. Drogue, alcool ou cigarette sont là pour ceux qui en ont besoin pour lever leurs inhibitions. Des béquilles en quelque sorte. Il faut arriver à l'âge adulte en ayant transformé ses complexes. Cela dit, il est finalmt rare que l'Homme adulte assume et assure - sa nature est blessée - mais il doit tout-de-même "tendre à" le faire et surtout remplir ses devoirs d'éducateur des jeunes générations. Le plaisir est aussi dans la vraie joie que procure la recherche de la vérité dans le dialogue, la rencontre, et dans le devoir accompli.