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lundi 27 juillet 2020

#150 - Mémoire, intégrité physique, identité génomique... En grand danger.


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On grandit en apprenant beaucoup.
Puis, passé un stade adulte, on apprend de moins en moins, d'une part parce qu'on connait les choses principales, et d'autre part parce que le cerveau est moins plastique.
Et dans le même temps, on commence à oublier de plus en plus. Le passé s'éloigne à mesure que l'on accumule les ans, et les neurones se raréfient, puisqu'en croissance terminée la production de cellules neuronales est amplement insuffisante pour pallier les pertes (chocs à la tête, microAVC, migraines, psychotropes...).
Bref on arrive à un état d'équilibre où l'on apprend autant que l'on oublie.
Alors à quoi cela servit-il de réduire l'espérance de vie de l'humanité de ces époques bibliques où l'on pouvait aisément taquiner les trois cent ans, tel une baleine boréale ?

La mémoire des peuples est un ennemi pour l'oligarchie cosmopolite mondialiste.
Celle-ci écervelle au maximum les individus pour qu'ils tombent continuellement dans leurs travers et fassent et repassent sempiternellement les mêmes erreurs.
Car même si les gens de cette intelligientia élitiste rechignent à voler simplement et directement les citoyens, ils s'accordent en revanche largement le droit de profiter des erreurs du bétail que nous représentons pour eux.
C'est cette histoire-exemple-type du béotien qui marque mal les codes au dos des chèques qu'il dépose à sa banque, vous savez. Celle-ci débite alors le créancier mais ne crédite point la somme sur le compte du déposant. Elle garde l'argent pour elle.
Si la banque a de la chance, le client ne se rendra compte de rien et ne réagira pas.
Sinon :
"Allo la banque ? Vous ne m'avez pas encaissé mon chèque !
- Il est parti à la fourrière des chèques monsieur. Il y avait une erreur sur les numéros inscrits au dos. Pour le récupérer il faut payer 30 euros de dédouanement plus 30 euros de frais de dossier. Je ne vous compte pas la franchise M. Pignon. Vous nous enterrerez tous M. Pignon !"
L'oubli est la fragilité de l'Homme et l'instrument de son esclavage.

Notre mémoire est attaquée par les gardiens du troupeau pour une seconde raison : ils tiennent à garder la main sur les versions officielles de l'Histoire du Monde. Réécriture, travestissement de l'Histoire... L'Histoire est écrite par les vainqueurs...
Songez, aujourd'hui que tout est numérique, on peut réécrire l'Histoire d'un pays entier en quelques jours si l'on a la main sur les serveurs informatiques !
C'est la théorie du récentisme.
On est obligé de prendre ici pour la énième fois l'exemple de l'effet Mandela. Ce pourfendeur de l'apartheid n'était-il donc pas mort dans sa prison d'Afrique du Sud ? Bizarre, on avait l'impression d'avoir entendu cette triste nouvelle aux informations.

Alors quand on sait que d'une part en Corée il est légal de cloner son chien mort, et que d'autre part la Chine est très avancée en clonage humain, je n'ose même pas penser au futur qui s'annonce terrifiant d'enjeux.
La grande bataille sera de garder intacte la mémoire, et l'intégrité de la vie humaine, l'identité génomique, la pureté des corps, etc.
Que les humains sur Terre restent bien, sans exception, des êtres dont les noms son inscrits sur le grand livre des Cieux, et que leur cerveau reste imperméable aux signaux de commande émis par leurs maîtres esclavagistes.

JRV






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